CARO DIARIO, Cher carnet, journal sans quoi j'aurais vite oublié que le sable écoulé d'un jour creux est aussi mémorial que la pierre blanche des grandes journées, rien n'est vraiment comme je le voudrais, dans ce que j'inscris sur tes petites pages. Mais tu es là, dans ma poche-revolver, avec les deux stylos, et je ne suis jamais seul !
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2 commentaires:
Superbe !
Merci Sébastien !!!
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